Equisetum arvense
Prêle sauvage
4,00 €
Riche en silice, la prêle est connue pour reminéraliser et restructurer l’organisme. Elle facilite également les fonctions d’élimination.

Prêle sauvage
Famille : Equisetaceae
Origine : Ardèche, France
Partie utilisée : Parties aériennes stériles
Mode de production : Cueillette sauvage
Labellisation : Agriculture biologique & Syndicat des Simples
Conservation : Les parties aériennes stériles de prêle peuvent se conserver plusieurs mois, à l’abri de la lumière, de la chaleur et de l’humidité.
Utilisation : Une cuillère à soupe dans une tasse, 2 à 3 fois par jour. En infusion.
Précautions d'emploi : La prêle ne présente aucune contre indication mais elle ne doit quand même pas être utilisée sur de trop longues périodes.
Prêle sauvage
La prêle contient des substances minérales (environ 20% du poids sec) dont majoritairement du silicium sous forme d’acide silicique et de silicates. Une partie du silicium est hydrosoluble et hautement assimilable par l’organisme lorsqu’elle est préparée en infusion. La silice est connue pour aider au maintien d’une peau, d’ongles et de cheveux en très bonne santé. La prêle contient également du potassium. De plus, elle a la capacité à fixer les autres minéraux comme le calcium et le fer. C’est pourquoi la prêle est une plante de première nécessité en période de convalescence ou lorsque le corps est déminéralisé.
La prêle est également diurétique, elle facilite les fonctions d’élimination de l’organisme par l’augmentation de la diurèse. Ses propriétés permettent de réduire l’inflammation des articulations et favoriser la résilience du cartilage articulaire. Elle facilite la perte de poids en complément de mesures diététiques.
Dioscoride au Ier siècle puis Pline l’Ancien lui attribuent des vertus thérapeutiques. Au Moyen-âge, Albert le Grand mentionne leur pouvoir hémostatique et elle est aussi employée pour favoriser la diurèse et soutenir les personnes “fragiles”.
La prêle des champs est une plante cosmopolite rugueuse affectionnant les sols humides et argileux. Elle fait partie des Ptéridophytes, embranchement regroupant les plantes à spores. Vivace, elle est munie de tiges souterraines, d’où partent deux sortes de tiges aériennes : l’une printanière, brun-rougeâtre de 10/25 cm, fertile, terminée par un épi sporangifère n’ayant pas de fonction chlorophyllienne et disparaissant après la dissémination des spores, l’autre, stérile, de 20 à 80 cm, d’un vert pâle, tardive, apparaissant après la tige fertile. La tige est cylindrique, à lacune centrale, cannelée, parcourue de sillons rudes avec, à intervalles réguliers des gaines noirâtres, d’où partent des verticilles de rameaux articulés, longs, grêles, pleins et à 4 angles aigus.
Également appelée queue de cheval, queue de rat ou herbe à récurer (en raison de la présence de silice qui est abrasive). Sa saveur amère, âpre au goût se dit “asper” en latin, qui, par filiation aurait donné asperella puis asprèle puis prêle. Le nom scientifique de la prêle est Equisetum, qui est dérivé du latin “equus” (cheval) et “seta” (soie), en référence aux fines branches de la plante qui ressemblent aux crins de cheval. En ce qui concerne l’espèce Equisetum arvense, le terme “arvense” signifie “des champs” en latin, ce qui fait référence à l’habitat naturel de cette plante qui se trouve souvent dans les champs et les prairies.
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