Juglans regia
Noyer sauvage
4,00 €
Le noyer renforce le fonctionnement du tractus intestinal. Il aide au contrôle du taux de lipides et à l’évacuation des toxines par voie urinaire.

Noyer sauvage
Famille : Juglandaceae
Origine : Ardèche, France
Partie utilisée : Feuilles
Mode de production : Cueillette sauvage
Labellisation : Agriculture biologique & Syndicat des Simples
Conservation : Les feuilles de noyer peuvent se conserver plusieurs mois, à l’abri de la lumière, de la chaleur et de l’humidité.
Utilisation : Une cuillère à soupe dans une tasse, 2 à 3 fois par jour. En infusion.
Précautions d'emploi : Aucune aux doses thérapeutiques usuelles.
Noyer sauvage
Les feuilles de noyer contiennent des antioxydants qui protègent contre l’action des radicaux libres due au stress, à l’alcool, à l’exposition aux UV ou aux ambiances polluées et peuvent réduire la production de cholestérol oxydatif. Elles augmentent la résistance physiologique de l’organisme.
Le noyer contribue au fonctionnement normal du tractus intestinal. Il aide à éliminer les parasites intestinaux et rééquilibre la flore intestinale. Il aide à maintenir les niveaux physiologiques de lipides et de cholestérol dans le sang.
Les feuilles de noyer ont été utilisées de tous temps pour leurs propriétés toniques, stimulantes, stomachiques et dépuratives. Elles stimulent le foie et la circulation. Elles sont actives contre les affections de la peau.
Noyer vient du latin « Nux » qui désigne aussi les noisettes, les amandes, les pistaches… « Juglans » viendrait du latin « Jovis Glans » qui signifie « Gland de Jupiter ».
Le noyer est un arbre à croissance rapide pouvant atteindre 20 à 25 m de haut. Originaire de Perse, il a été acclimaté en Grèce, en Italie puis en France. Il peut pousser jusqu’à 1000 m d’altitude. Le noyer est recouvert d’une écorce marron au début qui devient grise avec le temps et dont la surface se craquelle. Les feuilles, alternes, imparipennées sont d’abord rougeâtres, puis vertes, d’environ 25 cm de long. Elles comportent 7 à 9 folioles elliptiques, entières, glabres, de consistance un peu coriace. Les fleurs mâles sont groupées en chaton verts allongés, terminaux ou latéraux, pendant à la partie supérieure des rameaux de l’année précédente. Ces chatons sont munis à leur base des écailles du bourgeon. Les épis femelles, beaucoup plus courts, comprennent 1 à 5 fleurs et sont portés au sommet d’une pousse de l’année. Elles portent 6 à 30 étamines.
Le fruit est une drupe entourée d’une enveloppe lisse, charnue, verte puis brune, formée par la soudure des bractées, du périanthe et du mésocarpe. La partie interne, noix, ligneuse et dure, est constituée par l’endocarpe qui s’ouvre en 2 valves. La graine est riche en huile et comestible.
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